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Perte d’identité totale
Le relativisme absolu nous emmène à ne plus accepter aucune réalité et à redéfinir en fonction de ses envies en permanence qui nous sommes.
Le travail thérapeutique au contraire consiste à s’accepter et mieux se comprendre.
C’est parce que la société capitaliste a bien compris le danger des identités fortes qu’elle nous construit un modèle et des polémiques sur des sujets nous obligeant en permanence à remettre en question qui nous sommes et se confondre dans un tout sans accepter ses différences.
Dans cet article nous allons voir pourquoi on nous pousse à effacer les différences de genre et en quoi cela est il dangereux.
Homme femme ou androgyne ?
Nous sommes aujourd’hui dans un monde avec une forte crise identitaire qui s’accompagne de malaise individuel.
Pour ne pas accepter leur solitude et ainsi ne pas accepter leur être, on observe de plus en plus de redéfinition de l’identité à travers des projections individuelles type transgenre, cisgenre, etc.
Sur Tinder par exemple nous avons maintenant 39 choix de genre :
C’est quoi un genre ?
Un genre se caractérise en premier lieu selon moi par deux chromosomes XX ou XY.
Si un homme se sent femme c’est son droit et inversement par contre son code génétique restera le même, même après une opération XY.
Il a le droit de penser ce qu’il veut et de se considérer comme bon lui semble par contre la où cela devient plus grave, c’est quand il impose son modèle asexué aux autres.
Le principe est que la nature ne nous a pas attendu pour donner un genre femelle et mâle à tous les animaux avant nous jusqu’au dinosaures.
Nous devrions être plus humble quand l’on parle de genre.
Comme souvent l’homme veut s’extraire de sa condition animale et naturel pour se voir comme plus que cela.
En se dénaturant ainsi il refuse son identité première pour un faux lui qui flatterait davantage son ego.
On retrouve ce paradoxe dans la manière dont l’homme en détruisant la planète refuse d’accepter que la nature fait partie de la vie et donc de sa survie.
A force de se donner un genre, on en oublie son genre.
J’ai eu l’occasion d’intervenir dans des groupes de ce type LGBT et autres polyamoureux.
J’ai rapidement constaté qu’en fait, ce discours de transgenre sert davantage des gens perdus qui ne veulent pas travailler sur eux, et pensent que ce sont aux autres de s’adapter à leur unicité.
C’est donc une façon de rejeter leur problème en se définissant comme unique plutôt que d’affronter la réalité d’échec relationnel et de blessures passées non guéries.
Problème d’identité chez les hommes et les femmes
Le problème est qu’on cherche maintenant à :
- féminiser les hommes en leur demandant d’exprimer leurs émotions et leurs vulnérabilité,
- et de masculiniser les femmes en leur demandant de faire des métiers qui avant étaient plus dédiés aux hommes et d’être plus direct et affirmé.
Pourquoi cela est-il un problème ?
Car beaucoup d’hommes que je coach sont en pertes de repères et que les amalgames sont rapidement fait. Ils n’osent plus dire « NON », s’affirmer ou même exprimer leur désir sous peine d’être traité de lourd, macho ou encore d’agressif.
Ces hommes n’ont pas envie d’influencer et de manipuler et donc refuse d’accepter leur rôle dans la relation. Ils se mettent dans une attitude passive et deviennent rapidement blasé du peu de résultat obtenu alors qu’ils se sont conformer au modèle voulu par les médias féministes.
A l’inverse on trouve des femmes douces et agréables qui à force d’entendre qu’elles doivent s’affirmer deviennent agressives, violentes et parfois même castratrices avec les hommes.
Pourtant les relations sont toujours bidirectionnel.
Il y a un caractère systémique dans les rapports humains. Même en se taisant on influence. Une action est toujours suivi d’une rétro action.
Il n’y a donc pas un genre victime et l’autre bourreau mais bien un échange entre les deux qui peut être sain ou malsain.
De la différence à la complémentarité
Je termine cette article en rappelant qu’au lieu de voir les différences hommes femmes comme un problème à éliminer nous ferions mieux d’être plus humble et de les accepter comme notre nature.
Nous avons des influences de la société et de notre éducation (théorie des genres) et des influences génétiques et hormonales (théorie évolutionniste).
La vérité se situe entre les deux car notre conditionnement est multiforme.
Nous devons donc accepter les différentes influences plutôt que les nier et être ainsi en déni de notre propre nature.
C’est ce malaise qui entraîne parfois des réactions violentes et un rejet actuel du féministe castrateur qui voudrait effacer les différences des genres.
Sans genre nous finirons dans une société d’androgynes mi homme mi femme avec des personnes qui refoulent leur nature et identité pour ce conformer telle la mondialisation à une image identique de masse.
Tout le monde devrait être pareil.
Le genre est un des derniers remparts à l’individualisation et à la personnalité.
Ne cédons pas trop vite au conformisme et soyons fier de qui nous sommes plutôt que de le renier.
Le principe serait de remplacer l’opposition par l’apposition ce qui veut dire qu’au lieu de vouloir être comme l’autre nous pourrions accepter que l’autre nous complète.
C’est donc un rôle qui est précieux qu’être un homme ou une femme et qui nous permet d’être complémentaire pour notamment donner la vie.
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